Ses doigts déboutonnent les boutons de sa chemise avec assurance et facilité. Il enlève sa montre hors de prix et la pose sur l'étagère, déboutonne sa braguette, se retourne, la mélodie de son téléphone portable vient de la chambre.
- Merde. Probablement lié au travail. J'arrive tout de suite. Très vite, il sortit et répondit à l'appel.
Elle ferma les yeux. Écoute sa conversation.
Sans remarquer son retour, elle marmonne....
- Vraiment au travail....
- Es-tu jaloux ? Il l'a observée attentivement, essayant de capter ses émotions.
- Non, dois-je... ?
- Non. Il sourit et, d'un seul geste, se débarrasse de son pantalon et de son maillot de bain.
- Lève-toi et laisse-moi entrer. Elle se leva dans la baignoire et le laissa entrer. L'eau était chaude et il s'y plongea avec plaisir. Ensuite, elle se blottit entre ses jambes, le dos appuyé contre son torse, les cheveux rassemblés en un paquet. Tous deux fermèrent les yeux... Calmement...
Ses mains se posèrent habituellement sur ses seins, en caressèrent un peu la rondeur et trouvèrent immédiatement les mamelons durcis par son contact. Elle soupira doucement, comme si une corde s'était tendue dans son corps, de ses tétons jusqu'au bas de son ventre... Le laissant passer entre ses doigts, le pressant un peu, il s'amuse à la regarder. Sa réaction, sa confiance, sa façon de le laisser jouer avec son corps..... le remplissaient d'un sentiment de puissance... pas le genre de pouvoir qui consiste à battre ou à torturer, à humilier et à blesser... mais qui lui permettait d'être lui-même...Elle tremblait, chaque mouvement de ses doigts l'excitant encore plus.... Elle glissa sa main dans l'eau et pressa son sexe tendu, ce qui lui arracha un grognement. Elle la balaya plusieurs fois sur toute sa longueur et la guida en elle... Glissant très légèrement le long de la tige... jusqu'au bout... jusqu'au bout... De petits feux d'artifice explosèrent dans la tête de chacun....
Elle bouge, monte et descend, prend son temps, savoure chaque centimètre... l'absorber. Il lui touche le dos, les bras, le cou.... Ses doigts trouvèrent l'épingle à cheveux et l'enlevèrent.... Une cascade de cheveux s'éparpille dans son dos.... Il la savoure. Sa douceur, sa souplesse... un sentiment de propriété, un désir de la posséder, de la faire sienne.... Elle sent ses doigts et la chair de poule court sur sa peau, son corps se tortille, des gémissements s'échappent de ses lèvres.... Comme sur une même vague, ils se sont levés, elle lui tournant le dos et s'allongeant sur la machine à laver, les seins.Il regarde la femme en face de lui... Il aimait ce qu'il voyait.... Ses paumes se posent avec assurance sur son cul, il s'agenouille, lui écarte les fesses.... Putain de merde ! Lisses, douces, juteuses.... Et les siennes. Il passe sa langue, tout le long de l'entrejambe... Si cela avait été possible, la machine lui aurait laissé des traces d'ongles. Elle a crié, elle s'est cambrée, tout son corps s'est convulsé... C'est comme s'il n'avait pas remarqué sa réaction, explorant ses plis, son goût, il a atteint le clitoris, qui avait déjà grossi, qui semblait n'attendre que lui. Et il y enfonça ses lèvres.... le pressa avec sa langue. Ses doigts s'enfonçaient dans son cul mou, l'empêchant de se dérober. Elle s'agitait dans tous les sens, son corps semblait se briser, elle gémissait et hurlait, tout son être cherchait à s'échapper. Se redressant, il écarta un peu plus les jambes.
Il était maintenant sûr qu'elle accepterait ce qu'il voulait lui donner.... D'un seul coup, dans son ventre. Son cri emplit ses oreilles, elle l'acceptait, se balançant, il accéléra le rythme, bientôt il ne réalisa plus où il finissait et où elle commençait. Les gémissements se mêlent aux grognements. La tendresse s'est transformée en sexe fort. A chaque poussée, il se rassasie d'elle, à chaque coup de reins, elle lui appartient de plus en plus. Ses doigts s'emmêlèrent dans ses cheveux, tirèrent sur son.... Elle se cambra, un grognement s'échappant de sa gorge.... Plus vite, plus fort... Tout explose... Au moment où l'orgasme les a frappés... Tout autour d'eux a cessé d'exister. Juste eux, leur plaisir, leur cri commun et leur respiration frénétiqueElle s'est abaissée sur la machine, il l'a recouverte de son corps.....
.......Elle s'appuie sur les oreillers.
- Putain... Elle avait du mal à respirer, les mains qui tenaient si fort le téléphone tremblaient, ses genoux tremblaient... Elle n'arrivait pas à rassembler ses pensées...
.......He se pencha en arrière sur sa chaise devant l'ordinateur.
- Qu'est-ce que c'était que ça ! Il a rejeté la tête en arrière... Ses pensées étaient remplies par la fille dont il avait vu la photo, il y a une heure ? Ou deux heures plus tôt....
- Elle était belle, ravissante. Aucun des deux ne trouvait les mots pour décrire ce qui se passait maintenant ?